25 luglio 2011

Quelle liberté ?

Détacher les amarres, est-ce forcément plus simple ? Non, il faut bien du courage -et peut-être aussi une minime dose d'inconscience- pour lâcher toutes nos certitudes même si elles apparaissent ternes et angoissantes.
A l'entrée du supermarché où je me rend régulièrement, vient souvent un mendiant, clochard, SDF, comment le nommer ? Apparemment, cela fut pour lui un choix mais dans chaque décision, chaque choix, il y a toujours des "inconvénients" à subir, et personnellement je ne crois pas que sa vie soit beaucoup plus simple que la mienne, même en tenant compte du fait qu'il ne paie pas...de loyer, de charges, de notes de gaz, eau, électricité, d'impôts locaux et ainsi de suite (la liste n'est pas légère, mais... légèrement déprimante !!).
Et donc, un jour une des caissières exprimat la brillante idée qu'il était à envier. Je ne perdis pas de temps à rétorquer que si elle l'enviait tant, rien ne l'empêchait de suivre son libre bonhomme de chemin. Il lui faudrait seulement faire à moins d'un toit -à moins qu'elle ne considère comme tel une roulotte - et de tout ce que cela veut dire (chaleur d'un foyer, lit confortable et autres commodités ! ), à moins d'un salaire régulier et cela est probablement la plus grande difficulté à affronter pour la majeure partie d'entre nous, à moins d'une famille et de solides liens, comme l'amitié...
Bref, la vie errante est t'elle aussi stressante ou même davantage ? Probablement, cela dépend de l'esprit d'adaptation et de la personnalité de chacun d'entre nous mais si la vie en société a ses complications, l'être "asocial" ne l'est pas moins !!

18 luglio 2011

Ma quanto odio fare come fanno tutti !

Odio ritrovarmi nel supermercato di sabato mattina quando ci si ritrovano tutti !
Odio andare il sabato sera nella pizzeria più affollata di tutta la città !
Odio stiparmi sulla spiaggia insieme al 99 % della popolazione quando è già difficile sopportarne il calore !

Ma che piacere andare al supermercato fuori orario, non dovere fare la fila alla cassa ed essere addiritura accolta con il sorriso.
Ma che gusto andare a mangiare in una trattoria un pò isolata dove sono tutti a disposizione e non si ha l'orrenda sensazione che il cameriere faccia di tutto per mandarci via.
Ma quant'è piacevole la spiaggia di sera dopo le 18, quando la maggiore parte dei bagnanti fugge via, quando il caldo diventa sopportabile e riesci persino a fare una nuotata senza rischiare una pallonata in faccia.
La lista degli "odio" è decisamente più lunga ma ve la risparmio; mi domando tuttavia se devo proprio essere considerata asociale perchè non amo fare quello che fanno tutti, quando e come lo fanno tutti e perché addirittura mi godo qualche momento di solitudine fuori dalla confusione ?