26 marzo 2011

Une femme peut t'elle se reposer seulement quand elle est morte ?
A moins que....oui, dans les rares occasions où elle a 40° de fièvre, personne n'osera lui demander de porter Mirza pisser, d'accompagner les morveux à l'école, de préparer un repas digne de ce nom, de laver ou de repasser...Mais que faire si on ne prend pas la fièvre facilement ? La dernière fois que j'ai eu un maigre 39°, mes enfants n'étaient pas encore nés. Espèrer que votre famille une fois de temps en temps prenne votre relève et vous laisse reposer ?
Mais vous rêvez !! Comment, répondra votre mari, moi je m'occupe de tout le reste. Tout le reste n'est pas bien défini, mais une chose est certaine je ne m'occupe effectivement guère des démarches administratives ou bancaires qui m'ennuient et me mettent en difficulté. L'important étant, pour moi, que mon compte bancaire ne soit jamais à sec; ainsi faite l'idéal était d'épouser un homme riche mais...j'ai mal visé. Et pourtant il faut reconnaitre que mon pauvre mari fut pour moi un riche coup de chance !
Tout de même cela n'empêche qu'il ne lui vient guère à l'esprit de prendre ma place dans les milles travaux ménagers et divers boulots qui sont à l'ordre du jour dans chaque famille. Alors il ne me reste plus qu'à trouver un moyen d'attraper un petit microbe de passage, pourvu qu'il ne soit pas trop agressif, mais où trouver cela ?

19 marzo 2011

Si vous avez, comme moi, habité souvent en location, il vous sera certainement arrivé de vivre dans un appartement où, à un moment donné, tout semble se casser, se détériorer, tomber en ruines, dans la même période.
Dans une des nombreuses habitations où j'ai logé, durant ma pérégrination à la recherche de la maison idéale, je ne sais plus dans quel ordre exactement mais l'un après l'autre se sont cassés la chaudière, le frigo, un tuyau, la charpente d'une fenetre, la cuisinière...et ainsi de suite. J'en omet certainement quelques unes car à ce point là il me semblait que plus rien ne tenait debout, à part les occupants !! Et tout s'était déroulé en une succession telle que l'on finissait par se demander si les malédictions n'existaient pas vraiment, à moins que cela ne soit une tentative du propriétaire pour nous chasser ??
Mais est-ce possible...toutes à moi ? Qu'ai-je donc fait de mal, question classique que l'on se pose dès que se présente un problème inattendu comme si rien ne devait nous arriver !?
Et puis, en raisonnant bien, il devient logique qu'une maison vieille de 30-40 ans commence à présenter des signes plus ou moins nets de délabrement, que quelque chose se détériore, que l'usure commence à se faire sentir. Mais pourquoi tous les problèmes se présentent t'ils en même temps et le plus souvent dans une période où, déjà, les emmerds ne vous manquent pas ! Peut t'il y avoir une explication logique à ce phénomène ?
Les propriétaires louent t'ils exprès des appartements délabrés ? Et surtout, à qui louent t'ils leurs appartements quand tout y est nouveau et fonctionne à merveille ? Pas à moi, en tout cas !
Je veux une maison neuve, où les tuyaux ne perdent pas, la chaudière ne se bloque pas en plein hiver par moins 5°, le four ne lâche pas quand vous avez des invités et un beau gâteau qui dore dedans. Y aurais-je droit moi aussi ?

12 marzo 2011

Perdonare o dimenticare ?

"Lo stolto perdona e dimentica, lo stupido non perdona ma dimentica, il saggio perdona...ma non dimentica !"

Non vorrei peccare d'immodestia, ma penso di potermi collocare nella fascia dei saggi (almeno in questa occasione, poi per il resto...non è detto !!). Ho saputo perdonare i torti che ho subiti -e non sono stati minimi- ma nonostante tutto non riesco a dimenticarli e fanno parte del mio bagaglio di vita.
Qualche amica si chiede e mi chiede come sono riuscita a perdonare certe cose ! Non lo so veramente, con il tempo, il buon senso (mi capita di averne ) e accorgendomi che vivevo meglio, molto meglio senza la rabbia in corpo. Si passa anche facilmente per fesso quando non si lotta eternamente contro tutto e contro tutti pur di ottenere ragione, ma che fatica fare della propria vita una battaglia continua.......Meglio vivere con la determinazione di chi sa di avere ragione, senza doverlo dimostrare a tutti i costi.

5 marzo 2011

La première fois...

 Pourquoi tout le monde s'attend t'il à ce que je raconte une toute première fois vraiment privée ? De toutes façons, je vais vous décevoir car je n'avais vraiment pas l'intention de vous raconter des détails de ma vie décidément très personnels; bien qu'avec la naissance des reality-show tout maintenant semble bon pour mettre sur la place toutes les histoires les plus épineuses de chacun !
Enfin, je souhaitais seulement vous parler des premiers moments importants, significatifs de ma vie; je ne peux évidemment me souvenir de mes premiers pas dans ce monde alors je saute quelques étapes et arrive directement à mes premiers pas sur un vélo ! Si vous me lisez régulièrement (et sinon, il faut vous y mettre !!) vous vous serez déjà faits une idée de quel désastre ambulant (et débilant...) je suis et ne vous surprendrez pas d'apprendre que la première fois que je suis montée sur un vélo cela finit par une chute !
Je ne sais m'expliquer ce mystère, mais mon piètre sens de l'équilibre fait que, régulièrement (et en ce moment précis, je dois m'inquièter car cela fait un bout de temps que cela ne m'arrive plus ) je me retrouve les 4 fers en l'air, et cette fois-là aussi après quelques mètres très hésitants sur mes deux roues, je me retrouvais étalée sur le chemin. Ce dont je me souviens bien, c'est que je me réveillais, à peine reprise de mon évanouissement, étendue sur mon lit.
Une autre première fois fut celle où mon père tentat de m'apprendre à nager. N'ayant pas une méthode particulièrement douce et patiente, mais au contraire des plus agressives, je me bloquais totalement et après plusieurs tentatives il abandonnat l'idée, convaincu que l'eau n'était pas mon élément idéal. Un jour, il me surprit qui nageait toute seule; ma méthode était décidément plus efficace !
Ma toute première fois sur un cheval n'eut pas un épilogue bien différent de celle sur un vélo, mais de cela personne ne fut informé. Cela faisait déjà plus de deux ans que je tentais de convaincre mes parents que l'équitation était le sport qu'il me fallait. C'était ma passion et j'en rêvais. Les murs de ma chambre étaient un hymne à ce splendide animal, tapissés de photos et posters de chevaux
Mes parents me voyant si délicate craignaient que si je pratiquais l'équitation, ils auraient du trop souvent me ramasser à la cuillère, et repoussaient toujours au lendemain la décision de m'y envoyer. Le jour où enfin ils se décidérent, ils m'emmenèrent faire une promenade à cheval avec l'intention de se rendre compte si le mien n'était qu'un caprice ou si ma passion était réelle. Cette première fois là, pourquoi et comment, autre mystère, mais encore une fois je finis par terre. Quand mes parents demandèrent comment cela s'était passé, je répondis "très bien" et ainsi je fus inscrite au club. Curieusement, mes chutes y furent plutot rares !
La première fois que je pris un fer à repasser en main, je n'étais déjà plus toute gamine car ma mère n'avait pas eue la bonne idée de me l'enseigner et je l'appris donc le jour où je fus obligée de le faire. J'étais une au-pair girl à Londres et quand je repassais la chemise, taille extra-large, de mon employeur, je la brulais et en héritais même. Cela fit partie du bagage (dans tous les sens du terme ) que je me portais de cette expèrience là !
Pourquoi donne t'on tant d'importance à la première fois, comme si tout en dépendait ?