25 luglio 2011

Quelle liberté ?

Détacher les amarres, est-ce forcément plus simple ? Non, il faut bien du courage -et peut-être aussi une minime dose d'inconscience- pour lâcher toutes nos certitudes même si elles apparaissent ternes et angoissantes.
A l'entrée du supermarché où je me rend régulièrement, vient souvent un mendiant, clochard, SDF, comment le nommer ? Apparemment, cela fut pour lui un choix mais dans chaque décision, chaque choix, il y a toujours des "inconvénients" à subir, et personnellement je ne crois pas que sa vie soit beaucoup plus simple que la mienne, même en tenant compte du fait qu'il ne paie pas...de loyer, de charges, de notes de gaz, eau, électricité, d'impôts locaux et ainsi de suite (la liste n'est pas légère, mais... légèrement déprimante !!).
Et donc, un jour une des caissières exprimat la brillante idée qu'il était à envier. Je ne perdis pas de temps à rétorquer que si elle l'enviait tant, rien ne l'empêchait de suivre son libre bonhomme de chemin. Il lui faudrait seulement faire à moins d'un toit -à moins qu'elle ne considère comme tel une roulotte - et de tout ce que cela veut dire (chaleur d'un foyer, lit confortable et autres commodités ! ), à moins d'un salaire régulier et cela est probablement la plus grande difficulté à affronter pour la majeure partie d'entre nous, à moins d'une famille et de solides liens, comme l'amitié...
Bref, la vie errante est t'elle aussi stressante ou même davantage ? Probablement, cela dépend de l'esprit d'adaptation et de la personnalité de chacun d'entre nous mais si la vie en société a ses complications, l'être "asocial" ne l'est pas moins !!

Nessun commento:

Posta un commento