30 aprile 2010

Imposons les !

Hier soir, je me suis enfoncée dans le divan; mais disons aussi laissée accueillir, il m'attendait là, prêt à l'usage !!  La télévision, comme d'habitude à cette heure là ne proposait rien d'enthousiasmant et pourtant je restais regarder un programme vraiment peu intellectuel et osons même le dire, plutôt délirant ! Je ne sais pas s'il existe en France, mais j'espère que l'on vous a épargné cette cruauté. Il s'agit d'un reality-show parmi tant d'autres -cela coute t-il vraiment moins cher que de produire un bon programme ?- qui oppose intellectuels et midinettes. Le but du jeu consiste à rendre les intellectuels plus décontractés, et je me demande d'ailleurs bien pourquoi on tient tant à changer leur nature. Par contre, les midinettes à contact avec les intellectuels tentent d'emmagasiner quelques connaissances et un minimum de culture de base. Et sincèrement, je me demande d'où les auteurs tirent leurs réserves, car s'il est indéniable que ce sont de belles filles, certaines d'entre elles sont d'une stupidité à la limite du supportable et même de l'imaginable. Mais est-on vraiment obligés de supporter ce supplice ? De splendides jeunes filles qui, chaque fois qu'elles ouvrent la bouche (et malheureusement, elles tiennent toutes à le faire ) ont le don de faire sentir n'importe laquelle d'entre nous un génie. Il faut admettre que cela peut être confortant et plaisant pendant un instant, le temps de réaliser que nous ne le sommes effectivement pas. Sur ce, ne serait-il pas juste à ce point d'imposer l'excès de stupidité ? Exact !! Lorsque l'on dépasse le seuil de la raisonnable stupidité, celle dont chacun d'entre nous est théoriquement capable à un moment donné de sa vie puisque nous ne faisons pas partie de la catégories des génies,- et si par hasard il y en avait un parmi mes aimables lecteurs...qu'il me le fasse savoir et qu'il me le pardonne- alors à ce moment arrive la contravention pour excès de stupidité ! Je ne sais pas qui se chargera d'évaluer le grade de stupidité à partir duquel on risque mais il devrait y avoir là dessus un important projet de loi à étudier, et le travail ne manquera pas. Mais surtout la stupidité sur le petit écran devrait être taxé majeurement car nous sommes tous obligés de la supporter, faute d'alternatives !

26 aprile 2010

Comme c'est bon !!

Comme c'est bon de se sentir aimées chez soi !
Quel plaisir de se réveiller le matin avec le doux son de la voix de vos enfants qui répondent avec un grognement à votre salut. Bon, ça c'est un bon début, et il faut admettre que tout le monde ne peut pas se réveiller toujours de bonne humeur. Mais à la première question que vous posez à votre mari pour connaitre son programme de la journée, que vous attendez vous ? Qu'il vous réponde avec plein d'entrain ? Je suis désolée de vous décevoir, mais au mieux vous pouvez avoir droit à un sec: "tu peux pas attendre que je sois bien réveillé avant de me faire l'interrogatoire !"
Il faut croire que c'est de famille, dans cette maison on ne se réveille pas avec le sourire. Mais ne perdons tout de même pas espoir, après un bon petit déjeuner vous devriez avoir quelques probabilités que les choses s'améliorent et que quelque membre de votre famille contribue à vous faire voir la vie sous un meilleur jour...
Non, rien à faire, là encore vous rêviez car vos enfants ne désirent certainement pas profiter de votre compagnie et vous le ferons comprendre sans trop de manières (et c'est évidemment un euphèmisme !). Quand à votre mari, tout d'un coup vous entendez claquer la porte et réussissez à capter un vague avis d'un probable retour pour le repas.
Par bonheur vous devez sortir faire quelques courses et finalement vous pourrez rencontrer quelques êtres humains prêts à vous donner un peu de considération. Malheureusement, il pleut et vous mettez dix minutes à trouver un parking, la caissière défoulera sur vous ses angoisses journalières, à la poste l'employé est encore moins souriante qu'à son habitude (si vous connaissez beaucoup d'employés des postes aimables et souriants, faites une ségnalation, le problème est sérieux !) et vous apostrophe avec rage. Pour compléter le tout, en sortant, mesurant un peu plus que la moyenne des passants vous prenez à chaque pas le parapluie dans la figure et croyez moi, ce n'est pas agréable !
Enfin, arrive le soir où l'on pourrait s'imaginer que la famille aura plaisir à se réunir mais l'ordinateur calamite l'attention de vos enfants et votre mari est occupé à lire. Rien à faire ! J'échangerais volontiers mon règne (le malheur c'est qu'il n'intéresse vraiment personne...) pour un sourire, un mot, un peu d'attention. Que faire ? Parfois je pense qu'il serait bon d'être une femme et une mère à intérim et donc après plusieurs jours comme celui que je vous ai à peine raconté, on pourrait abandonner notre rôle et nos devoirs et oublier momentanément tout et tous. Comme il est bon de se sentir indispensable !

22 aprile 2010

Un kg de pain...."suspendu" s'il vous plait

"C'est déjà bien ennuyeux de ne pas avoir d'argent, s'il fallait encore se priver !"
Cette phrase s'adapte probablement parfaitement à la façon de voir des napolitains qui aiment vivre et profiter de la vie à pleins poumons. Ils sont par ailleurs d'une fantaisie sans fin et si jamais vous avez eu l'occasion de séjourner là bas, vous aurez pu vous en rendre compte car ils mettent cette fantaisie à toutes les sauces, et s'en servent en toutes les occasions car rien ne doit être impossible pour eux (impossible n'est pas français, mais certainement pas napolitain !!):
pour vous rouler, ils inventeront 1 000 stratagèmes qui plus que vous faire facher, vous dérouteront tellement ils sont à la limite de l'improbable et, disons le même, très originaux....
pour vous vendre quelque chose dont vous n'avez pas besoin, ils sauront vous confondre les idées à tel point que même si vous êtes végétarien, ils réussiront à vous refiler 1 kg de viande.
Et je pourrais vous raconter mille détails pour tenter de vous faire comprendre la mentalité napolitaine, que je ne connais certainement pas à fond moi-même. Mais dernièrement, j'ai appris une chose qui m'a permis de comprendre que les napolitains mettent leur génie même au service de leur générosité. En effet, les napolitains savent être d'une générosité surprenante, même ceux qui ne peuvent pas se le permettre. Mais cette histoire que l'on m'a racontée date de la période de la guerre, au moment où la majeure partie de la population n'avait pas de quoi se nourrir convenablement. Je ne sais pas qui fut à l'origine de cette douce invention toujours est-il que quelqu'un a bien pensé de faire des offres qui puissent etre destinées à des inconnus dans le besoin. Peu d'entre vous probablement ont entendu parler de ce que les napolitains appelaient : "il pane e il caffè sospeso". La traduction littérale de "sospeso" serait "suspendu", mais on utilise aussi ce mot pour quelque chose qui est laissé en suspens..Et donc, durant la guerre, les personnes un peu plus chanceuses qui pouvaient tranquillement se permettre d'acheter leur kg de pain, souvent en achetaient deux et en laissaient un "suspendu". Ainsi entrait ensuite dans la boulangerie une personne qui pouvait bénéficier de ce pain "suspendu" sans le payer. Il en était de même pour le café au bar (même en période de crise, le café est un "must" pour l'italien mais pour le napolitain encore davantage ) et cette générosité permit à qui voulait donner de le faire avec discrétion et à qui avait besoin de ne pas perdre sa dignité...N'est-ce pas une façon originale de faire de la charité ? Je pense d'ailleurs que cette idée devrait être adoptée dans nos grandes villes (françaises et italiennes ) où ne manquent malheureusement pas les personnes en difficulté !

18 aprile 2010

Je cherchais du travail

J'étais à la recherche d'un emploi, plus ou moins quelconque, pourvu qu'il me soit donnée la possibilité de travailler. N'étant pas une personne exigeante, mon premier souci n'etait pas forcément économique, mais principalement de rentrer dans le monde du travail et de pouvoir enfin m'y sentir utile. Je fis donc le possible pour trouver cet emploi:
inscription auprès des agences d'intérim, auprès de l'ANPE, porte à porte...toutes les démarches ennuyeuses, déprimantes mais indispensables. Bref, après tant d'entrevues, de coups de fil et d'inscriptions, sans aucune réponse positive ou du moins qui laisse quelque vague espoir, je ne dis pas que j'étais vraiment découragée mais disons que l'optimisme n'était pas forcément à l'ordre du jour. Il fut d'ailleurs ultérieurement miné le beau jour où je m'entendis dire par un employé de l'ANPE que j'aurais du tenter ma chance dans la ville voisine, plus touristique -où il supposait que seraient plus requises mes capacités linguistiques- et y déposer mon C.V. dans les hotels !! Je ne plaisante pas !! C'est effectivement ce que je me suis entendu dire.
Vous aurez peut-être l'impression que je suis un cas désespéré,...mais si je ne me désespère pas moi-même sur ma situation, pourquoi devrait t-elle être si préoccupante pour les autres ?
Deux choses sont en ma défaveur dans cette course à la recherche d'un emploi: mon âge (depuis le temps que vous tentez de le deviner, je vous l'avoue enfin, j'ai 50 ans ) et ma maigre expérience. Mais enfin tout cela devrait t-il me fermer toutes les portes du monde du travail ? Non, je ne crois pas car mon atout principal est la bonne volonté; ce n'est tout de même pas rien, n'est-ce pas (ne riez pas dans votre barbe, je vous avais déjà dit que je suis maitresse dans l'art de me contenter )? Malgrè tout, j'admet que le beau conseil de cet employé (est-il bien payé pour ce gros effort ?) me fit voir les choses sous un autre jour, et de fil en aiguille j'en arrivais à la conclusion que je devais tenter une autre voie et probablement m'inventer seule un métier !
C'est ce que je fis: et donc, maintenant sans honte et sans remords, je profiterais de votre attention pour me faire une sacrée pub ! En effet, je collabore maintenant avec une agence immobilière qui voulait s'ouvrir au marché étranger -beaucoup d'anglais achètent dans la région, car elle a les attraits de la Toscane et coute bien moins cher- et nécessitait donc ce que je n'avais pas réussi à "placer" ailleurs,... mes connaissances pour les langues.
Bref, il parait que la vie commence à 40 ans mais je crois qu'elle peut commencer et recommencer à n'importe quel age, l'important est de ne jamais perdre l'enthousiasme et tout de même parfois d'avoir un petit coup de chance

14 aprile 2010

Cosa farò da grande ?

Cosa farai da grande? La classica domanda che si fa ai ragazzi, perchè effettivamente molti adulti mancano tragicamente di fantasia.
Comunque, i bambini docili (finche non diventano adolescenti, mica scemi !) tentano di soddisfare la curiosità di chi li pone la domanda. E le risposte sono le più varie e talvolte le più insensate (ma cosa pretendete dai bambini ?) possibili. Insomma, nella maggiore parte dei casi, se si hanno le idee chiare a 8-9 anni, la confusione regna nella mente degli adolescenti.
Ma, effettivamente, a parte il caso in cui uno abbia una passione travolgente, come può sapere se desidera fare il pompiere, l'avvocato, il notaio o il dentista se ha una mente in subbuglio e le idee cangianti ? Decidere del proprio destino a 14-15 anni mi pare una gran fesseria. Non ho ancora capito nemmeno io quello che vorrei fare da grande, senza considerare che poi con gli anni bisogna ridimensionare parecchio le proprie ambizioni, i propri sogni.
Io, da grande, vorrei fare quello per qui sono portata (a patto di scoprirlo !) ma anche potere sognare e provare a fare delle cose che semplicemente mi entusiasmano. Invece, raramente agli adolescenti si prospetta il futuro in questi termini. Gli tocca studiare senza sapere effettivamente perché, e devono portare a casa quel benedetto pezzo di carta che non sempre ha un legame con i loro sogni ! Studiare è senz'altro utile ma non perdiamo la capacità e la voglia di sognare anche nella vita quotidiana. Facciamo in modo che i nostri ragazzi abbiano ambizioni, desideri, sogni e che vogliano volare un po; si fa in tempo ad avere i piedi per terra !!

10 aprile 2010

Ai margini

Stamattina, ho letto un articolo a proposito di un signore di 61 anni che chiedeva l'elemosina per strada. Peraltro, il giorno precedente lo avevo incontrato e notato perché effettivamente nella nostra piccola e (apparentemente) ricca città non era mai successo di vedere un italiano chiedere la carità, o perlomeno non questo tipo di personaggio. In effetti, italiani che hanno scelto di vivere al di fuori della cosiddetta società di consumazione o che, in seguito a problemi personali, si sono ritrovati a vivere al margine, non sono rari.
Potrebbe sembrarvi dunque del tutto normale che un italiano in difficoltà si metta con il classico cappello ad aspettare l'aiuto di qualche generoso cittadino. Invece non è cosi, perché questo signore fino a poco tempo fa aveva una condizione di vita del tutto normale: buon lavoro, famiglia con figli, casa di proprietà ... Ma tutto ciò non era cosi scontato come siamo abituati a considerarlo. Un po' per indifferenza, un po' per ignoranza, ci sembra impossibile ritrovarci in questa condizione di mendicante senza essercelo minimamente cercato. Cosi pensava mia sorella qualche anno fa, poi delle circostanze di vita avverse le hanno cambiato la vita ed aperto gli occhi. Ma non voglio parlare di cose personali, bensì riparto da questo signore che si dichiarava troppo giovane per la pensione e troppo vecchio per il lavoro. Il giornale parlava del suo caso e spiegava che quest'uomo, divorziato, aveva perso il lavoro dopo diversi mesi di difficoltà della sua ditta; precedentemente aveva lasciato la casa alla figlia che si sposava e, perciò, progressivamente tutte le sue sicurezze erano scomparse. Insomma, in men che non si dica e senza averne creato le condizioni, era diventato un uomo disperato, un barbone. Questo caso ci potrebbe aprire gli occhi e portare a fare qualche riflessioni sulle conseguenze immediate della crisi che ha scombussolato letteralmente la vita di tanta gente che credeva di avere delle sicurezze ed una posizione al riparo di ogni rischio. Effettivamente poi queste persone non vengono molto considerate dalla società; ci sono diverse aiuti alle famiglie ma non si fa niente per ridare la dignità ad un uomo che non è più in grado di ritrovare il lavoro. Non viene considerato dai datori di lavoro e nemmeno dunque dalla società che lo considererà solo al momento della pensione. Ma fino ad allora che deve fare una persona in questa condizione ?
La cosa che più mi colpisce è quanto la povertà ti possa togliere la dignità, eppure essa non è una colpa ma una condizione disagevole da subire !

6 aprile 2010

Ah, ce qu'on est bien chez soi !!

L'Italie, pays de ce qu'on appelle les "bamboccioni": trouver une traduction simple et nette à ce néologisme n'est pas évident, mais ainsi ont été nommés les jeunes et moins jeunes italiens qui profitent éternellement (ou presque ) de l'hospitalité de leur famille d'origine. Il existe, en effet, en Italie une large catégorie de personnes qui continuent à vivre chez leurs parents longtemps après avoir terminé leurs études.
Un ministre voulait mettre un terme à cette habitude de vie déprécable, selon lui -il oubliait avoir été lui aussi un "bamboccione"- en instituant une forme de bonus pour convaincre les jeunes à sortir du cocon familial.
Pourtant, l'image classique de "la mamma" comme la chantait Aznavour (j'avais acheté le 45 tours quand j'étais ado ) n'est plus tellement de mode même en Italie. Maintenant beaucoup de mamans ont coupés elle même le cordon ombélical qui les liait avec leurs enfants, car elles veulent jouir d'une certaine liberté que n'ont pas connu leurs mamans trop liées à leurs familles et ses mille devoirs, obligations.
Et donc, on est passé de la "mamma" qui mijotait des repas pour toute la smala du matin au soir, qui courait après le dernier né une cuillère à la main pour le nourrir, qui lustrait sa maison de fond en comble chaque jour, qui lavait et repassait sur requête d'un de ses doux rejetons tyrans, à la "mamma" qui, dès que son fils marche et mange tout seul, le laisse libre de vivre sa vie, lui donne les clés de l'appart. et rentre tard le soir, même plus tard que le fils adolescent sans chercher de savoir ce qu'il devient, s'il a besoin de quoi que ce soit.
Bref, la "mamma" s'est libérée, tellement libérée qu'il arrive que ses enfants envient le rare ami qui a encore une maman traditionnelle. Quelle chance, il a une maman qui l'a engueulé quand il a commis quelque bêtise, et en plus ils mangent encore tous ensemble autour de la table et vont même en vacances ensemble !! Mais quelle drole de famille !
Oui, si vous vous imaginiez de trouver partout en Italie la "mamma" classique de vos souvenirs de voyage , vous auriez de belles surprises et vous rendriez compte que les choses ont changées radicalement. Il est vrai, par contre, que si vous alliez dans le profond sud, vous pourriez retrouver beaucoup des clichés que proposent les films italiens des années 60-70. Là-bas existe encore -résiste encore, race en voie de disparition- une femme qui traite si bien ses enfants ultra-adolescents (ce terme peut correspondre aux jeunes de 20 jusqu'à 40 ans... ) qu'ils ne veulent plus sortir de chez eux.
Mais il faut dire aussi que la crise conditionne bien la vie des nouvelles générations qui, actuellement, sont obligées de vivre chez leurs parents pour des motifs économiques. Et oui, il existe deux catégories de "bamboccioni", ceux qui le sont par choix, parce qu'ils sont tellement gatés par leur mère qu'ils ne veulent pas y renoncer et ceux qui le sont par nécessité, car ils ne peuvent se permettre un loyer et tous les frais d'une vie autonome.
Rassurez vous, la "mamma" ne meurt jamais !!

2 aprile 2010

Méditations ...

Méditons sur la connerie des autres; on a l'habitude de ne regarder que ses cons à soi, sans supposer que l'on est tous le con de quelqu'un d'autre. Déjà ne pas se poser le problème de ce que l'on représente pour les autres pourrait être un signe précurseur de connerie galoppante.
Ici en Italie, on dit que la maman des crétins est toujours enceinte, mais donnez moi donc des nouvelles de la maman des cons...elle n'a toujours pas finie d'accoucher et de se reproduire elle non plus !
Les sites qui reprennent l'argument sur internet sont aussi nombreux que les paquerettes dans un pré au printemps. Les gens sont tous férus sur le sujet et personne ne s'abstient donc de commentaires. Mais vous rendez vous compte que parler de la connerie des autres -comme d'une maladie qui vous aurait frôlé mais pas touché..- pourrait être soit prétentieux, soit inconscient !
Je n'ai guère de doutes que je suis le con (la conne, en la circonstance !) de quelqu'un d'autre, et pour cela je n'ai guère la curiosité de découvrir qui me juge telle, mais la satisfaction d'avoir mes cons à moi ne m'effleure pas vraiment. Ce serait une trop maigre consolation.
Disons qu'à l'heure actuelle, mon souci serait plutot de tenter le tout pour le tout (avec mes faits, mes méfaits et mes paroles ) pour ne pas faire partie de la catégorie ! Ne me faites tout de même pas savoir si je n'ai pas réussi dans mes intentions