21 settembre 2013

Le parent pauvre

            
   On a tous besoin d'un petit pois chez soi...mais pas forcément d'un parent pauvre qui prouve un grand plaisir à te faire sentir le dernier échelon de la classe sociale, et plus précisément le paria de la famille !"Comment as tu pu dégrader de telle manière notre honorable famille ?"
Comment lui expliquer que personne ne se délecte dans la pauvreté, dans le malaise social, que personne ne choisit de ne pas améliorer sa propre situation ? Bref, ce parent riche prend un malin plaisir à t'expliquer comment ses enfants jetent l'argent par la fen
être, t'illustre comment il faut s'y prendre pour t'acheter une voiture neuve, au cas où en dehors du fait d'etre pauvre tu as la malchance d'être demeuré (tu passes à la banque et tu demandes un prêt !), car il se surprend que tu persistes à exhiber une voiture qu'il croyait sorti d'un musée. Si au moins tu avais le bon gout de ne pas la garer devant chez lui !
Le parent riche ne manque pas de t'inviter aux bapt
êmes et autres fêtes de famille qui t'obligent à acheter un objet, trop cher pour toi, trop insignifiant pour lui, qu'il ne manquera pas de recycler (tiens je vais le donner à cette voisine là; elle est encore plus pauvre que mon cousin !)
A ce point de son humiliation, le parent pauvre cherche désespérément un membre de la famille plus malchanceux que lui pour défouler toute sa rage.
Morale de la fable:
C'est pas parce qu'on est pauvres qu'on doit en plus
être sympathiques
 
Toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite ;)

13 luglio 2013

Féministe, moi ? Mais non, jamais de la vie !!

                
Je n'ai jamais été une lutteuse déterminée et acharnée, une qui courait à toutes les manifestations (en fait, pour une seule raison,... je n'ai jamais aimé la confusion !!), une qui prétendait à grands cris et à grands cors tels ou tels droits, mais durant mes années de fac j'étais souvent considérée comme féministe.
Il est vrai que je fréquentais beaucoup le sud du monde (mes amis provenaient du Méditerranée aux Andes, en passant par le Maghreb; bizarrement seulement les filles étaient françaises ) à la mentalité trop similaire à celle de mon père et donc il me fallait peu pour replonger dans une ambiance que j'avais si mal supporté pendant mon adolescence et qui déclenchait en moi des réflexes offensifs et défensifs.
Voir ma mère réagir prestement à chaque
requȇte, désir, volonté de mon père me faisait bouillir le sang (drole d'expression celle-là, qu'est-ce que ça donne du sang bouilli ? ), me créait un insurmontable sens de rebellion (Quelle horreur, le concept d'obéissance !!).
Je n'ai jamais compris ni accepté quelque forme de servilisme que ce soit.
Je ne prétend pas que nous bannions la douceur, les gestes tendres de notre vie, loin de là, car aimer c'est aussi savoir faire plaisir, et parfois s'assujettir mais quand je m'aperçois que beaucoup de jeunes filles ont passées un grand coup d'éponge sur toutes les 

conquêtes des féministes, je me sens assaillie par un grand désespoir.
Années de révolution et de luttes pour retourner à la case départ et voir des jeunes de 20 ans attendre que leur copine lave, cuisine, balaie, repasse pour eux, cela ne me semble pas humainement concevable !! Et comme me dit justement un ami, l'évolution de l'espèce régresse depuis un certain temps. A mon grand regret j'ai du admettre qu'il avait raison.
Mais quelle tristesse, quelle tristesse ! Devra t'on partir de zéro et revivre les années 68 pour ceux qui n'ont pas compris ce qui s'était passé ? Je n'en sais vraiment rien mais si je ne suis pas une fanatique j'aimerais toutefois ne pas voir ces jeunes filles oublier qu'elles n'ont pas seulement un corps et mettre en mouvement leur
âme !

 

14 aprile 2013

Je devrais...quand je pourrai !



Je sais que je devrais recommencer à écrire mais de quoi devrais je ou pourrais je parler en ce moment :
  • de politique, non tout le monde en parle et je n'en sais pas assez pour ajouter quelque chose de nouveau et intéressant
  • de la crise, non tout le monde en parle et on en sait tous déjà trop
  • de chiens, non l'argument peut être lassant quand on se contente de parler de sa propre meute (2 chiens et leurs puces peuvent t'ils constituer une meute ? )
  • de bouffe, mais non la plupart des femmes sont au régime
  • du climat, non il est aussi déprimant que le climat politique
Oui, je sais que je devrais recommencer à écrire et tôt ou tard je m'y remettrais car j'en sens la nécessité. Je m'y remettrais dès que je saurais de quoi vous parler !!

5 aprile 2013

Les grandes réunions.....de famille


Je l'avoue je suis un animal un peu sauvage mais il m'arrive parfois de céder et d'accepter une invitation de groupe. Il existe plus d'une occasion pour se retrouver d'une manière ou d'une autre en groupe.
D'abord, les grands repas de famille, ensuite les repas entre amis et finalement les sorties du village ou autres groupes plutot "hétéroclites".
Pour ce qui est des repas de famille, à moins que vous ayez la chance de vivre tous dans le même village (expliquez moi comment vous avez fait pour ne perdre personne en cours de route. Il doit être spécial votre village pour vous retenir tous !), pour beaucoup ce sont des retrouvailles occasionnelles et disons que généralement tout s'y passe bien et on supporte sans difficultés le cousin Alfred qui sait tout, connait tout, comprend tout et a expérimenté tout (mais alors qu'est-ce qu'il fait là où il n'a plus rien à apprendre ? ). On a peu à dire avec l'oncle Joseph qui ne parle que du temps jadis, mais comme le billet qu'il ne manque pas de vous glisser subrepticement dans la main est bien contemporain...on fait sans trop de peine l'effort de l'écouter au moins 5 minutes.
Bref, à moins que vous faisiez partie de la famille Borgia (ce qui au fond pourrait être stimulant ), ces retrouvailles ne sont pas si désagréables.
Les repas entre amis réunissent généralement des personnes qui ont quelque chose en commun, le lieu d'origine, le boulot, ou tout simplement une passion en commun. Bref, les arguments ne manquent pas et même s'il y a toujours celui qui veut monopoliser l'attention parlant de son boulot sans arrêt, de son unique fille qui évidemment déçoit toutes les expectatives mais évitez de la critiquer car alors elle devient la huitième merveille du monde, ces réunions sont agréables et peu ennuyeuses.
Maintenant, affontons le dernier groupe qui se réunit au maximum 3 ou 4 fois par an, selon le village d'origine. Ce groupe là est le plus difficile car il rassemble des personnes de différentes cultures, origines, classes sociales (expression que je trouve anachronistique mais qui malheureusement ne l'est pas en Italie; je souhaite qu'en France elle n'ait plus tant de sens ). Des tas de gens qui n'ont rien à voir l'un avec l'autre sinon le village où ils vivent ou les opinions politiques ou la foi religieuse, tous ensemble et donc là commencent les difficultés concrètes.
-Premièrement, choix de l'endroit où se réunir
Il faut bien qu'il y ait quelqu'un pour décider et donc la majeure partie du groupe suit les décisions des plus despotiques
-Deuxièmement, ruée vers la table pour former les groupes (car dans ce groupe, il y a toujours une floppée de sous-groupes ) et pour y éviter l'intrusion de personnes non-grata. Il m'est arrivé d'être de celles-ci et je cherche encore à comprendre pourquoi je me trouvais là-bas !!
-ensuite choix du menu
Ces temps-ci, malheureusement le choix se base surtout sur les conditions économiques mais pour certains le problème ne se pose pas et ceux-ci fatiguent à se contenter d'une pizzeria ou d'un petit restaurant
-finalement, moment de passer à la caisse et là, tout peut se compliquer bêtement car ceux qui mangent peu paient pour les autres et quelqu'un parfois se rebelle.
Celles-ci sont certainement les sorties que j'évite le plus facilement et l'excuse d'être un animal solitaire peut probablement éviter les gens persistants qui me prennent toutefois pour un animal rare, à la limite à observer de loin, avec un peu de pitié en pensant à ce que je me perd !

30 gennaio 2013

Petites rencontres folles




Je me suis souvent entendue dire qu'avec ma facilité à apprendre les langues, j'aurais du trouver facilement un emploi, et cette chose me tourmentait car je ne comprenais pas si le problème c'était moi -incapable de me procurer un bon emploi selon mes capacités, capacités que je n'ai pas encore déchiffrées- ou la ville où je vis qui était incapable de m'offrir ce que je désirais, ce dont je rêvais !!

Je n'ai toujours pas trouvée la solution et voilà pourquoi, malgrè tout, à plus de 50 ans je ne me résoud pas à abandonner mes rêves, même si je ne les ai pas encore déchiffrés. Tout ce que je sais sans l'ombre d'un doute est que chaque fois que j'ai travaillé dans le milieu du tourisme, je me sentais satisfaite. J'ai commencé peu de temps après mon arrivée dans cette petite ville de tourisme qui, à ce moment là était tout de même plus active. Le tourisme de masse y avait ouvert une petite brèche et c'est d'ailleurs celle ci qui me fit connaitre cette petite ville d'Italie sur l'Adriatique.
Mon groupe organisé devait passer une semaine là bas, et c'est ce qu'il fit, mais personnellement j'y retournais et y restais par amour; non, qu'avez vous compris ? Pas par amour de la ville mais pour un bel italien ! Rien de bien original, à ce temps là, les Italiens honoraient encore leur réputation de latin-lover et donc comme beaucoup de mes collègues mon voyage m'apportât bien plus que des simples satisfactions professionnelles. Ainsi, peu originalement (mais l'originalité n'est plus de mode et laissez moi donc être banale ) je restais là et cela fut déterminant pour le reste de ma vie.
Antonio m'aida à trouver mon premier emploi dans cette petite ville qui, alors travaillait surtout du tourisme et de l'industrie du meuble.
Grace à un ami qui travaillait dans ce splendide hotel avec piscine, pratiquement sur la plage, j'entrais alors dans le staff comme aide-secretaire, et j'apprenais ainsi ce que sont les recommandations et leur utilité dans le monde du travail. Malheureusement, les bonnes recommandations ne m'arrivent plus depuis lors, quel dommage !
Bon, retournons à cette première expérience, décidément forte et originale car le Directeur était un farfelu personnage, avec lequel l'ennui n'était jamais au programme. Ce que j'appris avec le temps, c'est que dans la restauration et l'hôtellerie les personnages curieux et à la limite de la folie (encore faut-il qualifier la folie: folie douce, folie pure, folie dangereuse...) ne manquent certes pas.
Notre personnage, bedonnant et toujours souriant, ne semblait vraiment point ce qu'il était ! Oui, son aspect négligé et son comportement très informel donnaient plutot l'idée qu'il fut un homme simple, un simple homme. A tel point qu'il arrivait parfois qu'un client lui passait devant, se rendait au bureau et demandait à parler au Directeur; il l'avait pris pour un employé de cuisine! De plus, il buvait abondamment et donc en certaines occasions, il perdait toute notion de décence. Il n'était pas rare à une certaine heure de le trouver affalé sur une des tables du bar avec les restes de quelques bouteilles de vin. Il vivait sans complexe ses vices, mais je dois dire que j'ai tout de même, et malgrè ses extravagances, un bon souvenir de lui parce qu'en dehors du fait que, même dans ses moments d'abandon éthylique il restait correct, il concédait sa pleine confiance aux personnes qui travaillaient pour lui.
J'appris, peu de temps après avoir été embauchée que ce loufoque personnage était un noble ! Vraiment les nobles ne sont plus ce qu'ils étaient. Il ne se comportait pas comme nous pourrions imaginer que le fasse un noble, mais il faut le dire, il n'arrive pas tous les jours de travailler avec un noble et donc...dites moi comment on pourrait se faire une réelle idée de ce que sont les nobles ! Enfin, si vous passez par ici, je peux vous présenter quelques curieux spécimens !
Certains épisodes en particulier, de la vie avec un noble, me sont restés en mémoire. Un jour, je le vis débarquer en slip dans le hall de l'hȏtel, jusqu'à ce que les cris de sa jeune femme le réveillent de sa torpeur et réalisant qu'il lui manquait probablement quelque chose, il retourna tranquillement dans sa chambre. Un autre épisode significatif du personnage se déroulait un après-midi d'été. Une jeune femme vint au bar et commandat une bouteille d'eau naturelle. Il était 4 heures de l'après-midi et la chaleur était insupportable et à cette heure là les clients habituellement se partageaient entre la plage et la piscine. Cette jolie cliente ne supportant pas la chaleur reposait dans sa chambre, et en se rendant au bar, elle eut le temps d'apercevoir le Directeur qui arrosait généreusement les haies devant le hall. Peut-être n'était-ce pas l'endroit idéal, mais disons que la spontanéité ne lui faisait pas défaut ! Il vint servir au bar la bouteille d'eau, mais cinq minutes après, la cliente lui reportat la bouteille en déclarant qu'elle n'était pas naturelle, mais gasseuse. Le Directeur, d'un noble geste -évidemment je plaisantais- mit son gros doigt boudiné sur le goulot et secoua vigoureusement la bouteille puis, avec un large sourire la rendit en affirmant:
maintenant, elle est naturelle !
Faut-il préciser qu'après l'arrosage des haies, il n'avait pas cru bon de se laver les mains...
De tels épisodes se répétèrent à intervalles plus ou moins réguliers durant toute la période où je travaillais là-bas. Au fond, cela me donna l'occasion d'abord de connaitre le pire de ce milieu du travail, ensuite de ne pas m'y ennuyer !
Par la suite, mes expériences de travail furent beaucoup moins mémorables et extasiantes. Antonio continuait à travailler dans ce secteur car il aimait son métier et se faisait apprécier. Moi, entretemps, entre enfants, maison et petits boulots sans conséquence, je me reprenais d'une expérience si originale qui m'avait presque créée dépendance...

6 gennaio 2013

Je ne suis pas un génie (et je suis désolée pour ceux qui avaient cru le contraire!)

Je ne suis pas un génie, je ne suis pas une personne de culture (et je le regrette !) mais si l'envie faisait partie de mon caractère, j'envierais plus volontiers une personne comme Rita Levi Montalcini qui laisse des traces indélébiles de son passage sur cette terre, plus qu'une personne qui ait accumulé richesses et fortunes.
Je ne suis pas un génie mais je tente de m'intéresser au monde auquel j'appartiens, et d'accumuler connaissances, notions plus ou moins définies de culture, choses qui me donnent bien plus de satisfactions que des biens matériaux.
Je me fatigue des gens aux horizons limités mais plus que tout, je me fatigue des jeunes qui se contentent..., se contentent d'être, d'avoir, de respirer !! Probablement je n'ai pas fait de ma vie, de mes capacités tout ce que j'aurais pu faire; je n'en ai pas tiré le maximum de profit mais je ne crois pas que l'ambition, le désir de faire doivent être seulement des caractéristiques juvéniles.....donc je tente encore de rêver, de créer, de m'améliorer et de changer ma vie et je trouve bien déprimants les jeunes qui n'ont pas ces désirs, ni l'énergie, le désir de changer le monde ou même de le refaire. Ils ne le changeraient probablement pas mais j'aimerais tant voir dans ces jeunes un peu de rêves de révolution.
Les voir végéter me déprime. Est-ce possible que nous soyons responsables, au moins en partie de l'inertie des nouvelles générations (évidemment je généralise, car les exceptions ne manquent pas) ? Que faudra t'il faire pour les réveiller ?
Il vaut mieux gacher sa jeunesse que de n'en rien faire du tout (Courteline )

Et à propos d'ambitions, comme disait si bien Corneille: quand on n'a pas ce qu'on aime, il faut bien aimer ce qu'on a !!

5 gennaio 2013

Quando ci vuole, ci vuole !!!!!!!!!!!!! (piccolo sfogo, con permesso !)

Evviva la campagna !! E abbasso i campagnoli incolti che non hanno altro da fare che rompere le scatole alla gente ! Si viene in campagna per vivere con un altro ritmo, per rilassarsi ma qui sono tutti più stressati di me.
Nessuno è obbligato ad amare gli animali ma questa fobia per i cani di grossa taglia comincia a stancarmi; fino a prova del contrario l'uomo è potenzialmente più pericoloso del cane perchè ha tre armi per fare del male:
le mani, le parole (qualcuno ha fatto tanto male con quest'arma !!), e il fucile !! Il cane dispone solo dei suoi denti. Comunque adesso m'informo e cercherò di stare in regola con la legge ma se qualcuno mi vuole contrastare...deve mettersi anche lui (o lei ) in regola ! A buon intenditori...poche parole

Vive la campagne !! Vive la nature !!
Théoriquement on y vient pour se détendre, pour échapper aux stress de la ville mais ici il y a des gens qui n'ont d'autres objectifs que de se défouler sur les autres ! Quand les gens sont malheureux parfois il ne leur reste plus que cela !
En tout cas, il y en a marre des gens de campagnes sans culture et sans autres intérets que d'emmerder le monde (excuse me....mais quand il faut, il faut !)
Et pour finir, personne n'est obligé d'aimer les chiens mais ne croyez vous pas que les gens sont potentiellement plus dangereux ? Un homme a trois armes à sa disposition pour faire du mal:
les mains, les mots, et le fusil !!!!!!!!!!!!!!
Les mots sont probablement les plus dangereux...

P.S.: pardonnez ce petit moment de défoulement, mais parfois c'est nécessaire !

This was only a public outburst, sorry !!!



1 gennaio 2013

A mon avis, les Mayas rigolent encore de la blague qu'ils ont faites à leurs descendants... Ils ont programmés une belle plaisanterie qui ferait parler d'elle pendant longtemps; ils ont probablement évités de transcrirre une partie de leur calendrier et sur cela s'est basé l'inquiètude de millions de personnes convaincus que les Mayas nous avaient transmis un solennel message !! Quelqu'un cherche encore de comprendre si nous avons mal fait nos calculs et bientôt le ciel nous tombera sur la tête (par toutatis !!) Tout cela pour dire que les attrape-nigauds auront toujours un grand succès: l'être humain veut croire en quelque chose et quand la religion ne lui suffit plus, le mystère arrive à point ! Dites moi donc pourquoi nous devrions fêter la fin de l'année comme si en dépendait toute notre vie future ? Croyez vous que le destin sera différent parce qu'un cycle se termine ? En dehors du fait, qu'en partie, notre destin dépend de nous car il y a une bonne part d'actions personnelles dans sa réalisation mais y intervient aussi la chance, et peut-etre aussi d'autres facteurs ! Bref, une année vient de finir, les Mayas se sont bien amusés, quel sera notre prochaine phobie....ah tiens si j'oubliais.......la crise !! ExodusClic (blogger ) a raison quand il en a marre des pessimistes, des défaitistes; est-ce possible, est-ce raisonnable de n'avoir aucun espoir pour le lendemain ? NON absolument pas tant que notre lendemain existe. Bon, après ce discours,il me semble logique (!!) que j'inaugure l'année avec un post, pour exorciser les mauvaises influences de l'année passée et voilà !!! Bonne année à tous ceux qui ne croient pas aux Mayas, bonne année à toutes les personnes de coeur, bonne année à tous ceux que j'aiment, bonne année à tous ceux qui se le méritent..